Benromach

Le graphisme moderne des étiquettes, dans le style d'une calligraphie japonaise, donne le ton. Benromach regarde vers le futur. En cent ans d'existence, elle a connu plus de périodes de silence que de production, entre cycles de récession, économie de guerre et valse de repreneurs. Mais la distillerie de Forres, un gros village à la lisière du Speyside, a tiré le bon numéro quand en 1993, Gordon & MacPhail, célèbre embouteilleur indépendant, réalise un rêve : redonner vie à Benromach, silencieuse depuis dix ans déjà. Un aboutissement naturel car les négociants d'Elgin avaient à maintes reprises embouteillé des fûts de Benromach qui dormaient dans leurs chais.

Il faudra cinq ans de travaux avant que ne s'écoule le premier distillat. L'ensemble de l'outil de production a été repensé et reconstruit, sans pour autant répliquer le précédent : une cuve de brassage neuve, des cuves de fermentation entièrement rechapées et deux nouveaux alambics. Toutes les étapes de l'élaboration sont regroupées sur un même niveau et quasiment dans une seule pièce pour une meilleure fonctionnalité. Enfin Benromach profite de la longue expertise de Gordon & MacPhail dans la maturation, avec une préférence pour des fûts de second remplissage, et pour les fûts de sherry, plutôt du chêne américain que du chêne espagnol.

En 1998, pour son ouverture, la distillerie fut honorée de la royale visite du Prince Charles et six ans plus tard le premier Benromach nouvelle formule baptisé "Traditional" fut intronisé. Depuis en dehors du whisky bio, Gordon & MacPhail mène des expérimentations avec différents niveaux de tourbe et différentes variétés d'orge. Autre marque de succès, le centre d'accueil des visiteurs a reçu une distinction du bureau du tourisme écossais. Benromach peut voir la vie en rose.

Le graphisme moderne des étiquettes, dans le style d'une calligraphie japonaise, donne le ton. Benromach regarde vers le futur. En cent ans d'existence, elle a connu plus de périodes de silence que de production, entre cycles de récession, économie de guerre et valse de repreneurs. Mais la distillerie de Forres, un gros village à la lisière du Speyside, a tiré le bon numéro quand en 1993, Gordon & MacPhail, célèbre embouteilleur indépendant, réalise un rêve : redonner vie à Benromach, silencieuse depuis dix ans déjà. Un aboutissement naturel car les négociants d'Elgin avaient à maintes reprises embouteillé des fûts de Benromach qui dormaient dans leurs chais.

Il faudra cinq ans de travaux avant que ne s'écoule le premier distillat. L'ensemble de l'outil de production a été repensé et reconstruit, sans pour autant répliquer le précédent : une cuve de brassage neuve, des cuves de fermentation entièrement rechapées et deux nouveaux alambics. Toutes les étapes de l'élaboration sont regroupées sur un même niveau et quasiment dans une seule pièce pour une meilleure fonctionnalité. Enfin Benromach profite de la longue expertise de Gordon & MacPhail dans la maturation, avec une préférence pour des fûts de second remplissage, et pour les fûts de sherry, plutôt du chêne américain que du chêne espagnol.

En 1998, pour son ouverture, la distillerie fut honorée de la royale visite du Prince Charles et six ans plus tard le premier Benromach nouvelle formule baptisé "Traditional" fut intronisé. Depuis en dehors du whisky bio, Gordon & MacPhail mène des expérimentations avec différents niveaux de tourbe et différentes variétés d'orge. Autre marque de succès, le centre d'accueil des visiteurs a reçu une distinction du bureau du tourisme écossais. Benromach peut voir la vie en rose.

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