Chieftain's Benriach...
Rare, exceptionnel !
Située à la sortie sud d’Elgin, sur la route de Rothes, Benriach était aussi appelée Longmorn II car les deux distilleries sont quasiment siamoises. Benriach a connu des débuts chaotiques.
Victime de la faillite retentissante de Pattisons qui a précipité bien des distilleries dans sa chute, suite à ses achats de whiskies à crédit, la distillerie a fermé au bout de deux ans. Seules ses aires de maltage sont restées opérationnelles, notamment pour alimenter en malt Longmorn. La distillation n’a repris qu’en... 1965 !
Après une extension qui porta le nombre des alambics en 1985 de deux à quatre, Benriach change de mains en 2001, après l’acquisition de Seagram par Pernod Ricard puis une nouvelle fois en 2004. Billy Walker, personnalité éminente du monde du whisky, se lance alors dans l’aventure avec deux investisseurs. Les alambics retrouvent la flamme ! Ce nouveau départ marque-t-il la fin du mauvais sort pour «la colline du cerf» ? On peut l’espérer.
Billy Walker, assisté de trois personnes dont son fils Alistair, met toute son énergie et son talent dans le lancement d’une gamme complète, alors que seule jusqu’ici une version de 10 ans avait été embouteillée par les précédents propriétaires. Il n’en finit plus de nous étonner, notamment avec les dernières versions de vieux Benriach millésimés, des séries limitées très appréciées des amateurs. A ce titre, les chais abritent un stock impressionnant de vieux fûts. Ceux qui dorment dans les chais traditionnels (dunnage) baignent dans une lumière orangée extraordinaire. Billy Walker a beaucoup d’autres projets et d’ambitions pour Benriach. Et notamment le rêve de rouvrir les aires de maltage abandonnées en 1999 mais qui restent opérationnelles. Il y a là une volonté affirmée de rattraper le temps perdu.
Située à la sortie sud d’Elgin, sur la route de Rothes, Benriach était aussi appelée Longmorn II car les deux distilleries sont quasiment siamoises. Benriach a connu des débuts chaotiques.
Victime de la faillite retentissante de Pattisons qui a précipité bien des distilleries dans sa chute, suite à ses achats de whiskies à crédit, la distillerie a fermé au bout de deux ans. Seules ses aires de maltage sont restées opérationnelles, notamment pour alimenter en malt Longmorn. La distillation n’a repris qu’en... 1965 !
Après une extension qui porta le nombre des alambics en 1985 de deux à quatre, Benriach change de mains en 2001, après l’acquisition de Seagram par Pernod Ricard puis une nouvelle fois en 2004. Billy Walker, personnalité éminente du monde du whisky, se lance alors dans l’aventure avec deux investisseurs. Les alambics retrouvent la flamme ! Ce nouveau départ marque-t-il la fin du mauvais sort pour «la colline du cerf» ? On peut l’espérer.
Billy Walker, assisté de trois personnes dont son fils Alistair, met toute son énergie et son talent dans le lancement d’une gamme complète, alors que seule jusqu’ici une version de 10 ans avait été embouteillée par les précédents propriétaires. Il n’en finit plus de nous étonner, notamment avec les dernières versions de vieux Benriach millésimés, des séries limitées très appréciées des amateurs. A ce titre, les chais abritent un stock impressionnant de vieux fûts. Ceux qui dorment dans les chais traditionnels (dunnage) baignent dans une lumière orangée extraordinaire. Billy Walker a beaucoup d’autres projets et d’ambitions pour Benriach. Et notamment le rêve de rouvrir les aires de maltage abandonnées en 1999 mais qui restent opérationnelles. Il y a là une volonté affirmée de rattraper le temps perdu.
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Rare, exceptionnel !